• Coucou à tous !

    Hier nous avons fait une superbe activité, une « croisière aux dauphins ». On a choisi de ne pas nager avec eux pour trois raisons :

    -c’était plus cher

    -il est interdit de toucher les dauphins

    -l’eau est trop froide ! Ils donnent une combinaison, mais on a vu ceux qui le faisaient : ils étaient pieds nus ! Et comme je suis une grande frileuse, je pense que je n’aurai pas apprécié de nager en claquant des dents

    Donc nous avons embarqué pour 3 heures de croisière, sur un voilier. Nous ne sommes que 10 touristes, c’est très agréable, on voit l’équipage manœuvrer et hisser la grande voile… Au bout de 20 minutes, à peine sorti du port, deux dauphins nous accompagnent sur quelques mètres. C’est inattendu, pas le temps de sortir l’appareil photo, on espère qu’ils vont revenir. Et effectivement, quelques minutes plus tard, on voit un groupe de dauphins nager à l’avant de notre voilier. Le capitaine arrête les moteurs, on avance grâce à la voile, les dauphins nous accompagnent un long moment. Ils sont 5 ou 6, ils passent sous le bateau, se laissent distancer, nous rattrapent, jouent, sautent ! Ils restent presque 5 minutes auprès de nous, le capitaine nous met une musique apaisante sur le bateau, on reste à les contempler. Cela dure longtemps, c’est magnifique, apaisant, incroyable… Tellement beau et émouvant que j’en ai versé une larmichette, sensible que je suis ! C’était un instant parfait, le temps s’arrête, on regarde ces dauphins jouer, le vent dans les cheveux, une belle musique en fond sonore… Bon je m’arrête là dans ma lancée lyrique, et je vous laisse profiter des photos ! Bravo à Nico qui a bien réussi à les prendre !

    On continue notre croisière, les paysages côtiers sont magnifiques, on vous laisse juger :

    On croisera encore de nombreux dauphins, parfois une petite dizaine en même temps, on ne se lasse pas de les admirer… Il est temps de rentrer au port, on a adoré cette sortie (seulement 35 euros par personne, on ne trouve pas ça excessif !).

    Dès que possible on vous met les vidéos, ça rend encore mieux !

    On prend la route en direction du sud, et on s’arrête dans un camping à Oamaru. L’occasion de ressortir la toile de tente, le camping nous plait toujours. En début de soirée, on va sur une plage où est censé arriver une centaine de pingouins à œil jaune.

    Ils rentrent chaque jour de leur pêche et s’installent sur la même plage pour passer la nuit. On a attendu 30 minutes, mais un seul est rentré ! On n’a pas été très patient, on aurait pu attendre plus, mais on était loin de la plage, et après avoir vu un million de pingouin en Argentine, on est moins surpris quand on en voit un seul !

    La nuit sous la tente s’est bien passée, pas trop froid, on commence la journée en douceur par la visite du jardin municipal, très très beau :

    Ensuite direction le centre ville de Oamaru. C’est une ville qui conserve de nombreux monuments de l’époque Victorienne, et les habitants jouent le jeu en s’habillant comme à l’époque. C’était sympa de déambuler dans cette ville, on a beaucoup aimé l’église :

    La ville était calme, pas de klaxons, des gens souriants… Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas eu envie de s’attarder dans une ville ! On s’est promené, on a visité l’atelier d’un tailleur de pierre, on s’est acheté un croissant dans une boulangerie, un petit tour au port, au marché… La belle vie quoi !

    Ensuite direction le supermarché, que du bonheur ! On a trouvé du Nutella, des bonbons (des vrais haribo, comme à la maison !), des biscuits… Tout ce qui nous a manqué en Amérique du Sud ! Vraiment on est bien dans ce pays !

    Nous avons ensuite fait un arrêt bien sympa sur la route, on a vu les « Moeraki Boulders ». C’est un phénomène géologique datant de millions d’année. Les sédiments se sont accumulés au fond de l’eau (pourquoi en forme de boules, ça on n’a pas compris) et quand l’océan s’est retiré il a fait apparaitre ces énormes boules. On a trouvé ça bien sympa.

    Un petit pique nique sur la plage, seuls face à l’océan, et c’est reparti, direction la péninsule d’Otago. Encore de jolis paysages, mais le charme a moins opéré que sur la péninsule de Banks. Peut-être parce que le soleil était caché par les nuages…

    Au bout de la péninsule se trouve un observatoire d’albatros. On a mis un temps fou avant de faire la différence avec les mouettes (les albatros ont un coup plus long). Finalement on a dû en voir 3, avant de conclure que ça ne nous impressionnait pas du tout. Pourquoi est on fasciné par des dauphins, alors que les albatros ne nous font aucun effet ? Grande question ! En tout cas on n’est pas resté très longtemps, et on a repris la route, toujours vers le sud.

    Nous avons fini la journée en beauté, en visitant « Tunnel Beach ». Un paysage à couper le souffle, on en a pris plein les yeux ! En plus le soleil a choisi de sortir des nuages juste le temps que l’on fasse ces si belles photos, parfait ! Des falaises escarpées, des arches creusées par la force des vagues, des parois lisses grâce à l’érosion, une eau d’un bleu incroyable… Que demander de plus ? Une jolie petite plage accessible par un escalier creusé dans la roche peut-être? C’est bon, elle y est :

    Il est temps de chercher un hébergement, on trouve un motel avec cuisine équipée, laverie automatique gratuite…

    Voilà, une journée de pur bonheur, où tout s’enchaine parfaitement… Que ça fait du bien !

    Et au cas où je n’ai pas été claire dans l’article… On ADORE la Nouvelle Zélande !!!!!!!!!!!

     


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  • Voilà, ça y est, on est en Nouvelle Zélande après ce long voyage qu'on vous a raconté dans l'article précédent. Bien fatigués à cause du décalage horaire mais déjà super content d'être là ! On n'avait pas réservé de voiture, on pensait faire le tour des agences à l'aéroport. Agence n°1 : aucune voiture disponible. Agence n°2 : aucune voiture disponible. De même avec les numéros 3, 4 et5 ! Nous qui pensions être en hors saison, puisque les vacances des néo-zélandais se terminent fin janvier, on se retrouve en fait en même temps que tous les touristes étrangers ! Finalement "Budget" avait une voiture disponible, ça a été long de faire tous les papiers, mais c'est bon on a pu partir avec une belle Toyota Corolla presque neuve et en plus pour pas cher. On a été tellement sympa avec la fille de l'agence de location qu'on a eu 300 dollars de réduc !! Cool !
    Bon, la seule chose un peu embêtante et destabilisante pour nous français, c'est qu'en Nouvelle Zélande on roule à gauche, et bien sûr le volant est à droite... Mais ça va, pour le moment je m'en sors pas trop mal, même si ça fait super bizarre de prendre les ronds-points dans l'autre sens, les clignotants aussi sont inversés (j'ai mis plusieurs fois les essuis glaces pour tourner...), et pour les vitesses c'est une boite auto donc pas besoin de m'en occuper, heureusement !

    Bref, nous voilà partis sur les routes de la Nouvelle Zélande et au bout de quelques kilomètres, on se dit que c'est vrai ce qu'on raconte, il y a personne sur les routes et on voit beaucoup de moutons !! On a quitté la ville de Christchurch sans la visiter (le tremblement de terre de 2011 à détruit ce qu'il y avait à voir, et puis on n'est pas fans des villes) pour se diriger vers Akaroa qui se trouve dans la péninsule de Banks. 

    On roule un moment, on commence à arriver sur les hauteurs, la route monte de plus en plus, on suit les panneaux "route touristique" et là, on voit ça :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Là, on se dit "Whaouh, ça commence fort, c'est vraiment magnifique !!" On continue la route en ayant toujours de beaux points de vue, le mélange de couleurs est sublime :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Voilà les fameux moutons de Nouvelle Zélande : 

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Après cette superbe route, on est arrivé dans le village d'Akaroa. Alors, quand nous étions en Argentine quand on pensait "village", ça voulait souvent dire : tout pourri, des chiens errants de partout, routes non goudronnées, hébergements nuls... Et bien là pas du tout, les routes sont parfaites, le village est vivant, mais calme quand même, on trouve de super beaux motels et auberges de jeunesse. Bref on REVIT !!! Ca fait vraiment du bien, on ne s'était pas senti aussi bien depuis les Etats Unis. L'Amérique du Sud, c'est beau mais ça fait du bien de retouver le confort !!! On a passé une très bonne nuit, sans bruit, dans un bon lit, avec une grosse couette (oui il fait pas très chaud), on est déjà emballé par ce pays alors que ça fait même pas 24 heures qu'on y est !!

    On s'est réveillé de bonne heure ce matin, à cause du décalage horaire on était en pleine forme à 6 heures !! On est donc allé se faire un petit dèj en ville, on s'est promené un bon moment au bord de mer, encore des jolies vues :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Le monument aux morts, qui a été un peu cassé lors du tremblement de terre :

    Akaroa et la péninsule de Banks

     On a vu des arbres bizarres, un mélange de sapin et de palmiers (en lisant notre guide, on a appris que 80 % de la flore est spécifique à cette île, alors on n'a pas fini de voir des plantes nouvelles et étranges !):

    Akaroa et la péninsule de Banks

     

    Cette aprem on a décidé de partir faire un tour en voiture pour voir les beaux paysages de la péninsule. Elle est composée de plusieurs petites baies avec des falaises, des couleurs d'eaux différentes, des plages... Encore de beaux paysages, des belles photos :

    Nous 2 sur la plage (à 13° on ne se baigne pas et on garde les polaires ! ) :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Vue sur la plage :

    Akaroa et la péninsule de Banks

     On a continué la route dans les nombreuses criques, de belles vues sur les falaises : 

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Akaroa et la péninsule de Banks 

    Une autre baie :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    La montagne, là aussi c'est joli :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    On est reparti en direction d'Akaroa, on a pris une autre route avec encore et toujours de jolie vues :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Là, c'est moi qui fait des photos "artistiques", je trouve qu'elles rendent plutôt bien :

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Akaroa et la péninsule de Banks

    Voilà pour ces 2 premiers jours en Nouvelle Zélande, on est super, super content d'être dans ce pays, on en prend déjà plein la vue et pourtant ce n'est que le début et en plus il fait beau !! Vivement la suite !

     

     


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  • Nous avons quitté Buenos Aires mardi matin. On a pris une navette depuis l’auberge et on est arrivé à l’aéroport avec beaucoup d’avance. Nous avons commencé notre longue attente, veillant les panneaux pour savoir quand nous pourrions commencer l’enregistrement. Vol prévu à 13h, à 10 h nous nous dirigeons vers le comptoir LAN, mais une hôtesse nous dit que notre vol est retardé, l’enregistrement est reporté. Tant pis, on retourne s’asseoir. On surveille les panneaux d’affichage, notre vol est toujours annoncé à l’heure, peut-être que l’hôtesse a confondu. A 11h on retourne à l’enregistrement, cette fois c’est confirmé, notre vol est retardé, il décollera à 15h30. Tant pis on a beaucoup de marge dans nos correspondances (ce qui n’est pas le cas des autres passagers qui sont bien plus embêtés que nous !), ça ne change pas grand chose pour nous d’attendre dans cet aéroport ou dans celui de Santiago du Chili.

    On enregistre les bagages (en ce moment mon sac pèse 12kg et celui de Nico 15) et l’hôtesse tente de nous imprimer nos cartes d’embarquement. Mais il y a plusieurs problèmes, notamment parce qu’on a changé l’heure de notre vol il y a plusieurs semaines. Finalement elle peut nous donner nos cartes d’embarquement que pour ce vol, il faudra qu’on prenne les prochains papiers lors de nos correspondances. Elle tente ensuite de s’occuper de nos bagages, mais cette fois impossible de les acheminer jusqu’à « kroustrouch » (il faut comprendre Christchurch ! ), on devra donc les récupérer à Auckland et les ré-enregistrer.

    Tout ça nous a bien pris 15 minutes, heureusement qu’elle était sympa. Il est 12h30, la compagnie nous offre un bon pour manger gratuitement en compensation du retard. On est tout content, on va peut-être enfin tester un restaurant d’aéroport, ceux où on ne va jamais parce que le sandwich jambon fromage coute 15 euros. On trouve l’entrée de notre restaurant, et on revient rapidement à la réalité ! Ce n’est pas un vrai restau comme on en avait envie, mais plutôt une cantine, avec des couverts en plastique. C’est une vaste salle qui doit servir spécifiquement à nourrir les passagers en rade envoyés par les compagnies aériennes. On ne peut même pas choisir notre repas, c’est poulet/légume ou bœuf/pomme de terre noisette. J’ai demandé poulet/pomme de terre, mais c’était impossible. Trop compliqué à faire surement ! Il n’y a que deux serveuses, alors on a attendu plus d’une heure. Heureusement qu’on a toujours notre jeu de carte sur nous. Une petite glace en dessert, et c’est tout. Bon, ça cale, mais ce n’est pas gastronomique pour notre dernier repas en Argentine. Les clients de première n’ont pas dû être envoyés au même endroit que nous…

    On a enfin pu embarquer dans notre avion. En jetant un dernier coup d’œil sur les panneaux d’affichages, on a vu que notre avion de 13h avait en fait été annulé, et qu’on avait été casé sur celui de 15h30. Très bonne idée de dire qu’il est en retard plutôt qu’annulé, c’est moins stressant !

    On avait un superbe avion, très très grand. Au moment du décollage, Nico me regarde et me dit « a ton avis, il faut en penser quoi quand l’hôtesse de l’air fait un signe de croix au moment du décollage ? » Heu ?... On l’a bien regardée, et elle n’avait pas l’air très sereine ! Les yeux fermés, elle était peut-être en train de prier… Ca va qu’on n’a pas peur en avion ! Le temps de se faire un petit film et hop, nous voilà à l’aéroport de Santiago, 6h d’escale.

    Il est temps de récupérer notre prochaine carte d’embarquement. On va au guichet que l’on nous indique, c’est le guichet qui gère tous les problèmes causés par le retard de l’avion. On n’a pas bien compris pourquoi on avait été envoyé là, puisqu’on n’avait aucun problème, mais on a fait la queue. Certains passagers ont appris qu’ils avaient près de 24 heures d’attente avant de pouvoir embarquer, vous imaginez l’ambiance au guichet. Une femme était en larme parce qu’on lui refusait l’accès au salon des premières alors que son mari était en fauteuil en roulant, un argentin a failli sauter par-dessus le comptoir, exaspéré d’attendre des infos qui ne venaient pas… Je peux vous dire que quand on a dit à l’hôtesse qu’on voulait seulement une carte d’embarquement, elle était bien soulagée. Ca a pris presque 10 minutes pour l’imprimer, alors que normalement c’est rapide. Quand on lui a demandé s’il y avait un problème elle a dit non, je crois qu’elle a essayé de nous garder un petit moment pour ne pas à avoir à s’occuper des autres clients !

    Nous voilà dans l’aéroport, les toilettes, les boutiques souvenirs, le duty-free… On commence à bien connaitre ! Il nous reste environ 3 euros en pesos argentin, on s’est dit qu’on pourrait les dépenser dans cet aéroport, puisque le Chili est un pays frontalier ça ne devrait pas poser de problème. On repère un joli brownie et un cookie au chocolat. On demande à la vendeuse si on peut payer en pesos argentin, la réponse est non. Mince ! On va donc faire du change, et on ressort avec un peu moins d’un euro. On retourne chez notre vendeuse et on lui demande ce qu’on peut se payer avec ces 500 pesos chilien. La réponse est rien. Re-mince. On repart, et je me souviens qu’il nous reste des centimes en dollar américain. On re-retourne chez notre vendeuse, en demandant si on peut payer en cumulant les deux monnaies. On l’a tellement attendrie qu’elle nous a demandé ce qu’on voulait. On a craqué pour le cookie au chocolat, et elle nous l’a donné pour seulement 500 pesos. Et en plus il était trop bon !

    Il est temps d’embarquer, direction Auckland. C’est bien sûr un très gros avion, beaucoup de monde, on est plein. On s’installe, couverture, oreiller, casque audio… Tout va bien pour nous. A la rangée de devant il y a un souci, ils appellent le stewart. Deux personnes ont le même billet, avec le même numéro de place. Tous les regards se tournent vers eux, et vers le stewart qui a l’air bien embêté, et la même pensée traverse tous les passagers « heureusement que c’est pas tombé sur moi ! ». Bon tout le monde a quand même pu s’asseoir, décollage en douceur. Vers 2h du matin ils ont servi le repas, je n’ai pas eu le courage de me réveiller mais Nico a trouvé ça très bon. Petit déjeuner à 10h. « Omelette ou sandwich jambon/fromage ? » Comme on ne sait pas dire « ni l’un ni l’autre » on a pris le sandwich, et on a mangé que le pain.

    On est arrivé à Auckland sans problème, on a récupéré les bagages (houra !) et on a passé la douane. Ils sont assez tatillons sur les produits que l’on importe, pas de fruit, pas de viande… Ils ont demandé à inspecter nos chaussures de rando. Pas de soucis, on avait prévu le coup, on les avait lavées. Ils ont demandé à inspecter la tente. Oups, ça on n’avait pas prévu. On avait juste passé un petit coup de chiffon sur le sac de la tente, mais on ne pensait qu’il faudrait la déballer. Donc on passe déjà un temps fou à détacher la tente du sac, puis on leur confie et on va attendre dans une autre salle. On attend 10 minutes, par le guichet notre tente nous est restituée (ouf !), on regarde et… On mettrait notre main à couper qu’ils ne l’ont pas sortie du sac ! Ou alors ils sont tellement gentils qu’ils l’ont toute bien repliée, et qu’ils font les nœuds exactement comme nous, ce dont on doute un peu…

    Bon en tout cas on est en règle, on n’a plus qu’à attendre notre avion pour Christchurch. On repère un mac do, on utilise leur wifi. On sent qu’on va souvent aller à Mac Do dans ce pays. En effet : 2 cheesburger +2 big Mac + 4 frites + 4 coca-cola= 12 euros !!!!!!!!! Ca va nous aider à tenir le budget. Par contre pour le petit déjeuner ils ne connaissent ni les cookies, ni les muffins, ni la tarte aux pommes… Du coup on a pris des pancakes, bien bons ! 

    On récupère notre dernière carte d’embarquement, on enregistre les bagages, on monte dans notre avion. Celui là est bien moins bien (pas de télé !) et surtout on n’a rien eu a mangé. Ils ont proposé du café, mais c’était payant. Bouh ! Mais le vol n’a duré qu’une heure, nous sommes bien arrivés à Christchurch.

    On vous parlera de nos premiers pas dans ce pays dans un prochain article. On va bien, mais il est grand temps d’aller se coucher. 21h30 heure locale, 5h30 heure d’Amérique du Sud, 9h30 pour vous… Pas facile de s’y retrouver, on sait juste qu’on est épuisé !

    Bisous à tous


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